Italie, Royaume Uni, Goodwood, Japon, Monaco, Allemagne, France sont les pays qui accompagneront cette nouvelle session de photographies qui nous font plaisir et nous parlent un peu à tous !
Direction Le Mans et l’édition 2012 qui accueillera le samedi 16 juin, en ouverture de l’épreuve des 24 Heures, une belle course qui regroupera les Groupe C de la grande époque. Cette course est mise en place par le MotorRacing Legends qui nous ramènera au temps des Jaguar Silk Cut, Nissan R88C, Mercedes Sauber et autres Porsche 962 ! Que du bonheur.
Un parking réservé aux supercars… C’est à Monaco !
Il fut un temps pour qu’une voiture soit homologuée en compétition, il fallait non pas des numéros de série et un exemplaire mais le nombre exact de voitures nécessaires à la dite homologationC’est ici le cas à Maranello pour la 512S et à Zuffenhausen pour la 917.
Il fait chaud en Italie dans l’ancienne fonderie Ferrari où l’on coule ici les pièces pour la 166 MM.
La Finlande, l’autre pays du froid et des tests hivernaux. Un sale moment pour cette Ford Capri soumise à une série de mesures par grand froid.
Pour ceux qui ne savaient pas comment on dit “Atelier ” en langage Porsche, sachez qu’on appelle cela “Clinique” ! Personnellement je préfère le terme d’atelier très propre voir impeccable ça fait plus mécanique et moins humains. C’est un peu comme les fameuses ” Cliniques de l’aspirateur ou du matelas à ressorts” que nous avons tous vu fleurir dans les années 80…
1956-1964 ( mais vendue jusqu’en 1968 pour épuiser les stocks ), voici la Daimler SP250. Un roadster britannique né en 1956 chez BSA mais inspiré du travail de Norah Docker, une ex call-girl qui avait épousé le patron de Daimler et qui voulait faire de Daimler une marque quasi pupulaire. Hélas les affaires sont les affaires et après l’évincement des Docker, B. Sangster reprend la direction de l’entreprise lance le roadster SP250 qui est une découvrable 2 places à l’allure baroque et à la carrosserie en fibre de verre. L’ensemble est motorisé par un V8 2.5 L fort de 140 ch qui permet à cette Daimler SP250 de passer la barre des 180 km/h. Hélas la voiture se vend moyennement et en 1960, Daimler devient la propriété de Jaguar et Sir Lyons, qui n’apprécie guère cette auto, la fait peu évoluer avant de stopper la production en 1964… ce qui n’empêchera pas la SP250 de rester en vente jusqu’à épuisement des stocks en 1968. Environ 2600 exemplaires ont été construits et ce roadster est devenu un collector rare et recherché 40 ans après l’arrêt de sa commercialisation.
La NSX aura bien une remplaçante, c’est officiellement confirmé depuis la fin de semaine passée par Toshihiro Mibe, le patron de la R&D chez Honda. La version concept car pourrait être dévoilée en décembre au salon de Tokyo, en attendant deux nouvelles grandes images de la l’Acura NSX que l’on retrouvera dans quelques temps au cinéma.
Noël c’est dans 9 semaines et déjà les clubs et les accessoiristes britanniques y pensent ! ET pour vous , ce sera une petite voiture ? Une grosse auto ? Un autoradio ? 4 jantes alu ou une révision des 80.000 km ? A moins que plus simplement vous ne rêviez que d’un joli livre de voitures…
Elles sont toujours aussi séduisantes et souriantes mais il vous faudra attendre la rentrée 2012 pour les retrouver à Goodwood !
Via VeloceToday, The Chicane, Autojunk, JaguarClub, NP.