Celica est une appellation chez Toyota qui est aussi emblématique que Corolla, Land Cruiser mais le coupé japonais a quitté le marché en fin d’année 2006 avec l’arrêt de la production de la 7eme génération du coupé japonais. Aussi grâce à quelques images, je vous propose un petit retour sur la Celica de 5eme génération ( ST 182 ) avec quelques photos d’une rare version ( en France au moins ) cabriolet à moteur 2.0 L.
Cette Celica des années 1989 à 1993 est surtout dans nos mémoires d’amateurs de voitures parce qu’elle fut la monture d’un certain Carlos Sainz en rallye mondial et grâce à sa présence dans les premiers jeux vidéos dédiés à la course automobile. On se rappelle tous les fameuses versions Turbo 4WD et GT-Four à moteur 2.0 L turbo de 225 ch qui au début des années 90 taquinaient les BMW, les Lancia, les coupés Audi à transmission Quattro mais aussi des françaises qui avaient pour nom R21 L Turbo Quadra et 405 T16 !
Ici pas question de version Turbo ou 4WD mais une simple et plutôt rare coupé 2.0 GT-i 16 2RM motorisé par le fameux 2.0 L 3S-GE qui développait 156 ch, 186 Nm de couple et qui profitait à l’époque d’une BVM5 rapide et précise.
La Celica cabriolet connaitra surtout un succès d’estime et auprès des amateur français du coupé japonais car sa carrière fut courte ( 2 millésimes ) et ses ventes confidentielles malgré une allure pas désagréable à l’époque et un niveau d’équipement plutôt supérieur à ce que proposaient les cabriolets européens du moment.
Aussi je vous propose quelques photographies de ce modèle noir quasiment d’origine ( sauf les jantes alu qui sont toutefois dans le diamètre d’origine ) avec une capote en toile noire elle aussi d’origine et pas trop marquée par le temps. Pas encore une voiture introuvable ou de collection mais une petite surprise que l’on a plaisir à revoir et qui rappelle une époque où la peur de l’industrie automobile japonaise était encore bien vivace ! 20 ans plus tard, nous en sommes bien loin mais cela m’a fait plaisir de redécouvrir au “naturel” cette Celica Cab’.
Crédit photos : Frédéric.E