A l’heure où Renault renouvelle une icône de l’histoire automobile Française, des interrogations souvent inutiles inondent les ondes et les écrits. Une Twingo qui ne ressemble pas à une grenouille est-elle encore une Twingo ? Une Twingo à 5 portes est-elle encore une Twingo ? Une Twingo à moteur arrière est-elle encore une Twingo ? A Nantes, lors des essais presse de cette nouvelle Twingo, je me suis surtout demandé si la Twingo troisième du nom était une bonne voiture ou pas . La grande nouveauté française de l’année, avec la C4 Cactus, intrigue les plus passionnés d’entre nous : Fun to look ? Fun to drive ? Pour le savoir, je me suis associé au photographe Mathieu Le Gall avec qui on s’est fait les plus agiles de corps et d’esprit pour mieux vous rendre compte de cette expérience.
Tel le Phoenix, l’esprit ludique et décalé de la première Twingo renait enfin sur les cendres d’une Twingo 2 trop consensuelle. Avec la troisième Twingo, c’est le retour d’une frimousse sympathique et familière, celle de la populaire R5 pour l’avant et de la radicale R5 Turbo pour l’arrière.
Une Twingo opportuniste ?
Dans la vie il y a, paraît-il, des occasions à ne pas manquer. Le discours officiel veut qu’en 2008 Renault ouvre le dossier de renouvellement de la Twingo avec trois projets distincts dont une architecture à moteur arrière, vite oubliée car trop couteuse pour être rentable. Deux ans plus tard, en 2010, Renault fait alliance avec Daimler qui réfléchit alors au renouvellement de ces Smart ForTwo et ForFour. Cette nouvelle idylle débouche sur un accord de co-conception, inédit et presque incongru entre les deux marques. Le projet commun de petite citadine à moteur arrière est alors lancé. Etait-ce réellement une solution technique voulue par Renault, ou plutôt un ralliement de raison, une posture opportuniste pour développer à moindre coût une citadine en perte de vitesse sur un marché hyper concurrentiel où vont bientôt être lancés des petits SUV plein d’appétit ?
- En 1993, Renault commercialise un drôle de véhicule au look de batracien sous ecstasy. C’est une révolution sur un marché où s’agitent seulement cinq concurrentes. La Twingo 1 captera jusqu’à 17% de parts de marché.
- En 2007, la Twingo 2, peu gâtée de naissance, se bagarre cette fois contre 25 concurrentes ! La citadine voulue plus statutaire ( voire ennuyeuse) a pour mission de rassurer les acheteurs et prend 6% du marché européen.
- Aujourd’hui, Renault veut reprendre le flambeau de la Twingo originelle et vise un minimum de 10% de pénétration.
FUN TO LOOK ?
Cette fois c’est pour de vrai ! Après avoir été annoncée en 2013 via les concepts-car Twin’Z et Twin’Run, la nouvelle Twingo est enfin sous mes yeux! Le premier contact visuel est une vraie bonne surprise. Il dissipe rapidement les déceptions ressenties à la lecture des premières photos, celles d’une forme générale assez banale et d’une trop grande ressemblance avec la Fiat 500. En fait, la Twingo 3 a une vraie personnalité, savant mélange d’un riche héritage maison et d’une volonté indéniable d’être hors du lot de ses concurrentes. Bien sûr tout n’est pas complètement inédit et on reconnait un peu de la 500 dans le montant “C” alors que le hayon, fait d’une seule pièce de verre, renvoie aux triplées PSA/Toyota. La nouvelle Twingo est plus courte de 10cm par rapport à sa devancière, et ce repli des côtes extérieures s’équilibre en un gain de charme évident. La nouveauté, c’est également le constat que les rondeurs et les lignes subtilement tendues composent un cocktail que sauront apprécier les acheteurs mâles et femelles, ce qui est rare pour ne pas dire exceptionnel sur ce segment. Pour peu qu’elle soit composée du bon mix couleurs/jantes/stripping, la nouvelle Twingo pourra facilement être assumée par les plus virils d’entre nous. Par ailleurs, l’esprit ludique de la première Twingo est clairement de retour avec cette troisième mouture qui s’inscrit dans la pétale “PLAY” de la stratégie design de Renault. Ce positionnement produit ne nous a pas échappé et vous découvrirez sur les photos de Mathieu illustrant cet essai que la Twingo s’est prêtée avec bonne volonté à tous les jeux auxquels on l’a gentiment soumise : partie de basket-ball, virée en fête foraine, et le plus fort, défier avec optimisme et impertinence le Grand Elephant , l’une attractions les plus emblématiques des Machines de l’Ile à Nantes.
A partir d’une même base technique, les designers Renault et Smart ont planché conjointement sur leurs projets respectifs, soucieux d’optimiser leur collaboration plutôt que de la vivre comme une contrainte. Serait-ce cela la fameuse émulation des open-space? Le résultat est en tous cas concluant, car , même si l’on peut préférer l’une ou l’autre des réalisations, le fait est que les petites Renault et Smart ne se ressemblent pas beaucoup. 95% des pièces visibles sont différentes d’une marque à l’autre alors que la quasi totalité des pièces invisibles est commune aux Smart et à la petite Renault.
Un autre des challenges du design industriel était d’adapter les nouveaux codes identitaires du losange sur un très petit volume. L’opération de chirurgie réparatrice dont a bénéficié la Twingo 2 avait ouvert la voie, l’essai est pleinement transformé sur cette nouvelle version. L’ensemble est aussi harmonieux et identitaire que la Clio ou le Captur. A l’avant, les phares, rehaussés de clignotants traités comme des paupières, donnent à la voiture un capital sympathie énorme. Le forme ronde des feux de jour est le seul clin d’oeil au premier modèle de 1993. Pour un aspect moderne et technophile, ils sont joliment marqués de quatre points lumineux.
Le style général plutôt passe-partout est heureusement rehaussé par une ligne d’épaule qui coure le long de la carrosserie et s’accentue au niveau du passage de roue arrière. Cette coquetterie, comme un bel hommage à la Renault 5 Turbo, peut ( et à mon sens, doit !) être soulignée par un stripping à choisir dans le catalogue de personnalisation.
Bien après la Panda, les C1, 107, ou Picanto, Renault revoit enfin l’accessibilité de sa citadine. La Twingo est désormais une cinq portes, mais par soucis d’apparaître plus dynamique, la petite Renault dissimule judicieusement ses poignées de portes arrière. Le constructeur au losange use déjà de ce subterfuge sur la Clio et le Captur, demain peut être sur la future Mégane dont on annonce la disparition de la version coupé.
A l’extérieur, comme à l’intérieur, la couleur est très présente, l’univers de cette citadine est résolument POP ! Comme un manifeste à la couleur et un refus de la grisaille, Renault se démarque de la concurrence en ne proposant aucune teinte grise sur la Twingo, ce qui mérite un énooooorme LIKE ! Renault tient là un objet de désir, un vrai concentré de coups de coeur.Sur le plan du look, il faut s’attendre à ce que le public soit nombreux à succomber. A croire que pendant la conception de la nouvelle Twingo, Oscar Wilde murmurait aux oreilles du chef produit Sébastien Crochemore, une de ses phrases célèbres : “Le péché est la seule note de couleur vive qui subsiste dans le monde moderne“.
L’aspect tout à la fois ludique, flatteur et pétillant du design extérieur se retrouve avec bonheur aussi à l’intérieur! Aucune déception ou surprise désagréable au moment de s’installer face au poste de conduite. L’habitacle, haut pour une voiture de ce gabarit, est très coloré, fun, et sportif. Fait marquant, le compteur de vitesses et l’ensemble des informations de conduite migrent derrière le volant; fini l’esprit monospace des premiers modèles avec leur instrumentation centrale, et c’est tant mieux pour le plaisir de conduite. Rien de plus désagréable pour un pilote, fusse t-il sportif ou non, d’avoir le regard qui fugue vers un désert de plastique derrière la jante du volant. Comparé aux autres “petites” de la marque, Clio et Captur, Le design du compteur manque malheureusement d’originalité mais la lisibilité est satisfaisante. La console centrale est bordée d’un large bandeau au traité “balle de golf” ou “lisse peint” selon la finition et le type de personnalisation choisie. Les sièges ont un design sobre et réussi, les appui-tête arrière apportent une touche fun et contemporaine à une banquette plutôt triste.
Comme ses consœurs du segment, la nouvelle Twingo abat elle aussi une carte maîtresse, la personnalisation ! “Féminine”, “masculine”, “Vintage” ou “sportive”, l’acheteur d’une Twingo pourra faire de son auto un objet presque unique en composant lui-même l’intérieur et l’extérieur du véhicule. Outre les différents stripping adhésifs et les jantes, les coques de rétroviseurs, les barrettes de calandre et les baguettes latérales sont disponibles en trois couleurs : Bleu Dragée, Rouge Flamme ou Gris. A l’intérieur, le bandeau de planche de bord, les aérateurs et les inserts décoratifs du volant sont, au choix, Noir, Rouge Flamme, ou Bleu Dragée. Le rangement amovible au pied de la console centrale et le sac textile de l’offre Flexicare adoptent la couleur de la sellerie. Enfin, dernier moyen de personnaliser sa Twingo, un superbe toit ouvrant en toile est disponible en option. Il s’ouvre sur 71cm en longueur et 58 en largeur.
La Kia Picanto avait relevé le niveau de présentation des mini-citadines, aujourd’hui Renault suit voire amplifie le mouvement avec la Twingo. Daimler a apporté à Renault son savoir faire en qualité perçue. D’apparence sûre et robuste, la nouvelle petite Renault est construite en Slovénie dans l’usine de Novo Mesto. Les chaînes de production ont bénéficié d’ investissements lourds ( environ 450 millions d’€) consentis conjointement par Renault et Daimler et qui répondent à des exigences de qualité élevées. Ainsi les joints de carrosserie sont plus soignés que d’habitude. Si la présentation est un ton au-dessus des meilleures de la catégorie, l’ergonomie et la fonctionnalité générale de l’habitacle sont juste dans la moyenne. Le volant ne se règle qu’en hauteur, les appui-tête avant sont fixes, les ceintures n’ont pas de réglage en hauteur, les commandes de lève-vitres avant sont implantées trop en arrière, il faut une contorsion désagréable du bras pour les actionner, le bas du tableau de bord touche les tibias du passager avant, il n’y a aucune poignée de maintien dans l’habitacle ( fâcheux pour une auto qui se veut dynamique …) et comme de coutume chez Renault, l’utilisation du régulateur/limitateur de vitesse passe par plusieurs commandes dont certaines sont particulièrement mal implantées en bas de la console centrale, cachées derrière le levier de vitesse… A noter que le design de ce levier varie selon les finitions et que la plus part du temps on n’a le droit qu’à celui que l’on connait chez Renault depuis des décennies et plus récemment chez Dacia. La série limité Edition One ( la Twingo blanche de notre essai) semble être la seule à être équipée d’une levier de vitesse avec boule alu, en plus des élargisseurs d’ailes et de la casquette gainée au-dessus du compteur. Enfin, comme de nombreuses concurrentes directes, à l’arrière, la Twingo se contente de vitres entrebaillantes.
L’habilité arrière est satisfaisante , la garde au toit est généreuse à toutes les places. A l’ouverture du hayon, le coffre surprend par sa hauteur. Malheureusement pas de faux plancher qui abriterait un espace de rangement en profondeur sous le seuil de déchargement. Cette place est entièrement dévolue au moteur, abrité de l’habitacle par une plaque isolante dévissable à la main et recouvert d’une épaisse moquette protectrice. Attention à ne pas rouler trop longtemps avec des courses fraîches dans la malle, dépêchez-vous de rentrer et de remplir votre frigo. Malgré toute l’attention portee à l’isolation du moteur, après une heure de roulage, une certaine chaleur, pour ne pas dire une chaleur certaine, est perceptible en passant la main au fond du coffre. La Twingo compense la faible hauteur de chargement par une profondeur inhabituelle dans la catégorie et la possibilité via des dossiers de banquette rabattables et un siège passager avant entièrement inclinable d’offrir une longueur de chargement record de 2.30m ! Renault peut ainsi se vanter de proposer la seule citadine du marché capable d’avaler une armoire suédoise, comprenez un meuble en kit stické d’un logo jaune sur fond bleu. Dans un gabarit très ramassé, les ingénieurs Renault ont réussi la prouesse d’augmenter la capacité du coffre de 188 à 219 dm3.
Le moteur ayant migré vers l’arrière du véhicule on pouvait espérer un coffre de rangement supplémentaire à l’avant. Il n’en est rien. Après quelques manipulations plutôt déroutantes sur une voiture de série, le capot glisse sur une course de 22cm vers l’extérieur du véhicule. Il abrite la batterie et permet d’accéder aux niveaux des liquides de refroidissement, de frein, et de lave-glace.
FUN TO DRIVE ?
C’est donc une révolution dans l’histoire du modèle : comme avant elle, les sportives R5 Turbo et Clio V6, ou les populaires Dauphine, 4cv et R8, la Twingo est une propulsion à moteur arrière! Premier avantage immédiatement perceptible, la maniabilité et l’agilité de l’engin sont très enthousiasmantes. Passer le moteur à l’arrière permet de libérer le train avant. Dans l’exercice du demi-tour, la Twingo nécessite 1 mètre de moins que la plus part de ses rivales. Les roues braquant jusqu’à 45°, il devient presque impossible de rater son créneau. Mieux, cet exercice quotidien dont ont horreur certains conducteurs peut se transformer en plaisir, se garer devient ludique !
La nouvelle Twingo délaisse sagement le diesel et propose deux motorisations essence 3 cylindres:
- un inédit 1.0l SCe 70 ch
- et le TCe 90 ch repris des Clio et Captur mais avec 50% de pièces retravaillées pour pouvoir incliner suffisamment le moteur et l’insérer dans le fond du coffre.
Tous les deux sont associés à une boîte manuelle à 5 rapports. Les poids respectifs sont de 865 et 964 kg. Le 0 à 100 s’effectue en 14”5 pour le 70 ch et 10”8 pour le 90.
Bonne surprise, la Twingo ne se contente pas d’être jolie, elle offre aussi une conduite et un comportement routier pétillants, vivants, et attachants. On est assez éloigné du confort ” à la française”, la voiture est plus raide qu’attendue, mais au final la vivacité et le dynamisme priment sur un amortissement peu délicat.
En milieu urbain, la Twingo confirme le savoir-faire de Renault en matière de citadine. La nouvelle architecture à moteur arrière y ajoute un rayon de braquage réduit, une position de conduite haute qui permet d’optimiser la visibilité, et un gabarit ultra court malgré une habitabilité en hausse.
Si le terrain de jeu favori de la Twingo reste la ville, la route n’est pas un souci pour autant, grâce à une répartition des masses presque idéale : 45% à l’avant et 55% sur l’arrière. L’empattement généreux et les portes à faux minimalistes permettent un comportement à la fois sain et dynamique. Attention toutefois au moment de choisir la monte de l’auto : déjà plutôt fermes en 15 pouces, les suspensions de la Twingo deviennent carrément sèches voire brutales si on opte pour les magnifiques jantes 16 pouces de la version Edition One. Avec la monte d’origine 15 pouces, la Twingo demeure accessible à tout le monde. Malgré une architecture atypique sur ce segment, le châssis assure un comportement sûr comme une traction, et plaisant comme une propulsion.
Des deux motorisations proposées, j’ai préféré la plus petite, plus adaptée à l’usage attendu d’une Twingo. Il excelle en ville où toute la puissance est disponible dès les plus bas régimes. Les accélérations sont franches et surtout régulières. Cet inédit SCe 70 ch est une vraie réussite, parfaitement à l’aise dans cette nouvelle Twingo où il séduit aussi par sa discrétion et sa sobriété. Seul bémol, cette version 70 ch n’est pas équipée de la direction à démultiplication variable. Il faut alors 3.9 tours de volant entre butées contre 3.4 pour la version 90!
La version TCe 90 ch ravira les fans de chrono ou ceux qui veulent mener loin leur monture, mais sont-ils vraiment les clients visés par une aussi petite citadine ? Il se dit qu’une version RS est dans les tuyaux, cette déclinaison sportive avec propulsion et moteur arrière s’avère très prometteuse vu le plaisir déjà ressenti avec les versions standard.
Et la connectivité ? Plus jamais seul en Twingo ?
Impossible aujourd’hui de commercialiser un nouveau véhicule sans tenir compte du fait que l’acheteur potentiel voudra connecter son smartphone adoré à son auto et qu’il lui sera impossible de rester trop longtemps déconnecté de sa communauté.
La nouvelle Twingo propose deux offres multimedia, l’une baptisée R&GO qui utilise votre smartphone, et une évolution du désormais fameux R-Link . Le R-Link Evolution ( c’est son nom!) bénéficie d’un écran amélioré qui permet de zoomer et de dézoomer la cartographie de la navigation à l’aide des doigts comme sur une tablette tactile. Le R&GO fonctionne via un smartphone connecté sur le tableau de bord et dont il “squatte” l’écran pour offrir quatre fonctions principales :
- la navigation
- l’accès aux contacts téléphoniques et à la lecture vocale des SMS
- la lecture musicale via le contenu du téléphone et une connexion aux web radio
- une communication “inversée” : la voiture diffuse des infos vers le smartphone, comme un compte-tours ou les conseils du Driving éco2.
Les tarifs débutent à 10800€, la gamme s’articule autour de trois finitions : Life, Zen et Intens. Attention, en accès de gamme, la Twingo est privée de climatisation, de vitres électriques, d’autoradio, et surtout de possibilités de personnalisation ! En finition Zen, la dotation de série devient tout juste correcte avec, entre autres, une sellerie bicolore, la climatisation, et un dossier de banquette rabattable 50/50. Seule la version Intens joue a fond la carte du look personnalisé et offre un niveau d’équipement très complet : radar de recul, volant cuir, avertisseur de franchissement de ligne …
Un coup d’oeil au configurateur officiel vous permettra de mettre un chiffre sur la Twingo de vos rêves .
Dans l’inconscient collectif, la Twingo est une petite voiture rustique, colorée, et spacieuse. Malgré toutes les libertés prises avec le concept initial, la Twingo 3 est pour moi, non seulement une vraie Twingo, mais surtout une très bonne petite citadine. Son émancipation avec l’ADN initial lui permet de rattraper le retard pris sur la concurrence avec la deuxième génération et de remettre le label Renault au plus haut du podium du segment A avec un véhicule très smart ! Alors, un seul conseil : au moment de choisir votre nouvelle urbaine, prenez le temps d’étudier l’offre Twingo, si décalée soit-elle, avec le plus grand sérieux. Soyez agiles de corps et d’esprit et appréciez Renault comme un acteur majeur de la petite voiture populaire. La Twingo est prête à égayer votre conduite urbaine, à vous de jouer !
Merci aux équipes dépêchées par Renault à Nantes pour l’organisation de cet essai. Merci à Maya, Camille et Camille pour leur accueil et aux experts pour leur disponibilité : Magali Dupérey ( chef projet R&GO), Carsten Krapf ( Directeur du programme Twingo), Sébastien Crochemore ( chef produit Twingo) et Alexandre Buzy ( chef de projet moteurs Twingo).
Merci à Mathieu Le Gall pour cette première collaboration et vivement la suite de nos aventures !
Photos : Mathieu Le Gall / Illustrations : Renault
En prime, et en marge des photos de Mathieu faites pendant l’essai, voici une petite visite dans l’usine Slovène qui fabrique la nouvelle Twingo et les soeurs Smart grâce à la banque d’images de Renault.